Ça CEst Passé Simplement 2
Le jeudi 25 avril 1985
Le lundi le chef de région, la responsable administrative et moi-même affichions nos plannings, afin dinformer les uns et les autres de nos déplacements. Ainsi le mardi quand je partais, je jetais toujours un coup dil sur les plannings et je pouvais constater que nos chemins avec Mireille pendant les 15 jours à venir ne se croiseraient. Il faut aussi dire quavec la nouvelle organisation, nous avions beaucoup de travail. Et ainsi les semaines passaient. Jétais un peu, disons vexé, mais doté dun grand pragmatiste, je me disais « Tu las eu, tu en as bien profité, cétait bien, la roue tourne ». Effectivement elle tournait.
Ce soir là, à lhôtel dans le secteur de Poitiers je dinais tranquillement en lisant quand japerçus Mireille. Je me concentrai sur mon livre pour voir ce quelle allait faire. Elle arriva sourire aux lèvres et tirant une chaise elle me dit :
« Bonsoir, tu permets »
« Evidemment tu peux. Je navais pas vu que ton planning devait tamener à Poitiers »
« Exact, mais un planning évolue, et il a fallu que je vienne au secteur, jy suis dailleurs depuis ce matin et je repars demain dans laprès-midi »
« Encore un problème ? »
« Pas seulement, mais, , et puis zut, la journée est terminée, on parle dautres choses »
« Cest vrai, excuses, pour me faire pardonner, après manger, on peut aller prendre un verre en centre ville, il y a des bistrots sympas, ça nous changera les idées »
« Je te propose plutôt daller dans une boite, que les filles mont indiquées. Il paraît que cest une boite « rétro ». Dautre part, la dernière fois tu mas invité cest à moi,
égalité, homme-femme » dit-elle en riant.
Naturellement jacceptais, et cela me confirmait dans lidée qui me courrait dans la tête depuis que je lavais aperçu. Elle avait changé son programme, peut-être pour un problème au secteur, mais peut-être aussi car elle envie de se faire sauter, et jétais « le » sans risque pour elle, pour sa réputation.
On prit ma voiture et direction la boite « rétro ». Elle connaissait parfaitement le chemin. Cela se situait, légèrement, en dehors de la ville et nous arrivâmes sur un grand parking. Je choisissais un emplacement dés plus reculé.
Mireille : « Pourquoi si loin »
Moi : « Je ne tiens à me faire égratigner par un type qui aurait trop bu »
La boite était relativement grande, une grande piste pratiquement ronde avec autour, des rangées de petites tables avec des genres de banquettes doubles.
Mireille choisit une table en fond de salle. En fait dans la musique il y en avait pour tous les goûts, valse, tango, rock, slow, jerck
Pour se mettre en jambe, je pris le premier rock envoyé, on verrait comment elle suivait. Lenroulement après un lancé se terminé bien contre moi, puis nous sommes passé aux tangos, jaime bien cette danse où nos jambes doivent semmêler et jai même cru ressentir deux ou trois quelle frottait son entrejambe sur ma cuisse, mais jai de limagination. Enfin une série de slow arriva, la reine des danses quand on veut « emballer », et jétais décidé à faire avancer mes sentiments ! Nous arrivâmes sur la piste et sans hésitation elle mis ses bras autour de mon cou et se colla à moi. Pour ma part, un bras au niveau des épaules et lautre au niveau de la ceinture et jaugmentais le collage, nos bassins étaient lun contre lautre et elle entrepris un léger mouvement des hanches, ce qui entraînait un frottement de nos bas ventres. Jétais déjà en forme avant, et ce frottement en fit quaugmenter le volume et la dureté de « popol ». Pendant cet exercice de surplace en rythme, un instant je méloignais et inclinant la tête et je lembrassais dans le cou. Il y eut une contraction de surprise et peut-être une petite réaction épidermique. La série slows terminée, retour à notre table.
« Arrêtes STP, on part »
« Daccord,
pour ta chambre ? »
« Oui, comme tu veux »
Et nous partîmes, mais arrivé à la voiture, je marrangeais pour la « coincer » contre la voiture et lembrassais goulument, elle eu un mouvement de recul (peut-être de surprise), puis se laissa aller et nos lèvres se retrouvèrent, nos langues se cherchèrent, se caressèrent,
pendant ce temps ma main droite saffairait à remonter le bas de sa jupe. Arrivé à mi-cuisse ou un peu plus haut :
« Non arrêtes, pas ici »
Mais jétais décidé à aller plus loin. Pour rester debout, même appuyée à la voiture, elle avait, problème de gravité, les jambes légèrement écartées, ce qui permit à ma main de glisser entre ses cuisses, dont la peau était très douce, et je continuais ma progression vers son intimité.
« Arrêtes, on va nous voir »
« On ne risque rien, cest sombre »
Jétais presque arrivé, et volontairement ou involontairement, les cuisses sécartèrent légèrement, ce qui me permit datteindre mon but. Javais sous mes doigts, le dernier obstacle, une petite culotte, déjà humide, qui recouvrait cette grotte damour. Ne pouvant attaquer de front cet obstacle, je le contournais, cela me permit datteindre, enfin, cette minou convoitée. Y arriver avait été une chose, la pénétrais en fut une autre. En effet, la tête raisonnable de Mireille dit : « Arrêtes, pas ici » alors que le bas du corps réagissait autrement, les jambes sécartaient légèrement, me laissant un meilleur accès, et le bassin poussait cette belle chatte à avaler mes doigts, puis la tête suivant ses envies dit : « OOOhhh,
, Oui,
, cest bon,
».
En sinstallant dans la voiture, elle rabattit sa jupe et réflexe de femme : « Jespère que je nai pas taché ma jupe »
Après ce petit exercice, javais une trique imposante et il était temps que lon soccupe de la chose. Voyant Mireille gentiment assise à coté de moi, je lui dis : « Tu pourrais relever ta jupe »
« Tes fou, pourquoi ? »
« Devines, je veux voir tes cuisses et les caresser, jaime la douceur de ta peau »
« Admettons, mais, gardes tes 2 mains sur le volant, si je le fais,
quest ce que tu voudras ensuite ? »
« Que tu ne portes plus de petite culotte la prochaine fois, je trouve excitant de savoir une femme nue sous sa robe, ça me donne des idées »
« Hum, hum,
»
Il se passa un certain temps et pendant que je conduisais, Mireille ayant dégrafé son corsage lenleva, puis son soutien gorge et remis son corsage. Elle remonta sa jupe, souleva son bassin, enleva sa petite culotte et se rassit, la jupe remontée jusquà la taille.
« Cest ça que tu veux et que tu aimes? »
Je connaissais, professionnellement, cette femme depuis 5 ans, là, elle ma soufflé.
« Je pense que cest un défi ? »
« Exact et je pense que ça texiste que je sois nue comme une salope » me dit Mireille.
« Oui, non, pour moi, savoir une femme nue sous sa robe mexiste, je pense que toi ça texiste de te faire passer pour une salope, ça te fais mouiller »
« Donnes moi ta main pour voir si ta théorie est exacte »
Ayant écarté les jambes et avancé le bassin pour me faciliter laccès, elle me prit la main et la posa sur sa chatte, elle était très humide. Je continuais sur cette lancée, et conduisant dune main de lautre je continuais à lui caresser les cuisses, ce quelle acceptait avec quelques soupirs.
Nous arrivâmes à lhôtel et je me garais au fond du parking, éloigné de lentrée.
Avant de descendre, bien que gêné par le changement de vitesses, je voulus lembrasser, et profiter pour lui caresser les cuisses, elle se laissa faire. Et elle me dit :
« Les préliminaires ont été faits à la sortie de la boite, maintenant, passons aux choses sérieuses et à toi de montrer que ce que je viens de faire a porté se fruits. » et elle sortie de la voiture.
Entrer dans lhôtel, se diriger vers les chambres. Ma chambre étaient la première dans le couloir, Mireille eu un instant darrêt devant ma porte. Je lui dis que ce serait mieux dans la sienne. On y arriva, elle ouvrit sa porte, un coup dil de ma part dans le couloir et jentrais.
A peine passé le petit couloir dentrée, donc dans la chambre, le corsage éjecté, la jupe abandonnée. Cet effeuillage terminé Mireille évacua les draps et se coucha. Je me dépêchais de me déshabiller avant davoir une réflexion ironique du genre « ten mets du temps, ou tes encore habillé ».
Je mallongeais à coté delle et commençais à lembrasser, sa bouche était chaude et pulpeuse, sa langue fouineuse, goulue, puis je moccupais des ses seins, car elle mavait dit, aimer les donner à lécher, sucer,
Cest là quelle me dit : « Tu tes occupé de mes lèvres du haut, celles du bas tattendent ». Ses désirs étant des ordres, je descendais vers sa bouche du bas mais en profitant de caresser, embrasser sa peau que je trouvais très douce, pour arriver enfin à son minou. Sa propriétaire avait prévu mon arrivée, car les jambes étaient largement ouvertes, permettant un accès aisé à sa bouche inférieure. Mapprochant de sa grotte damour, je humais son odeur de femme chaude à la chatte humide presque coulante. Je parcourais de ma langue ce sillon rose qui séparant les deux lèvres semblait souvrir qui ne demandait quà être pénétré. Ma langue senfonça dans ce puits chaud, et la sono se mis en route.
Pendant ce temps, elle ne restait pas inactive, se caressant les seins, se les malaxant.
« Oui, , continues,
, prends moi avec ta langue, ..., oui, comme ça,
, regardes, je mouvre pour toi,
»
Effectivement, ses deux mains arrivèrent de chaque coté de sa chatte et écartèrent ses grosses lèvres, ouvrant son intimité à ma bouche avide de la boire. Et la petite musique continua, mais il fallait soulager « popol ».
Heureusement, Mireille intervint : « Arrêtes,
tu vas me faire jouir, , je te veux ?
, prends moi,
, baises moi,
, baises moi fort,
, je veux te sentir me prendre,
, viens ,
»
Je lui dis : « Retournes toi, mettez toi à genoux »
Sans sourcillée, elle se mit en position levrette et passant sa main entre ses cuisses attrapa mon sexe et le guida dans son intimité, ou il pénétra sans difficulté, tellement son fourreau était ouvert, lubrifié, accueillant. Elle prit loreiller dans ses bras, ce qui mettait son joli cul en évidence. Cramponnée à ses hanches et enfoncé en elle, je commençais mes va et vient, bien décidé à la faire grimper aux rideaux (si jétais capable de tenir la distance). Tout cela fit que le son se mit en route.
« Cest bon je te sens bien,
, OOOHHHH, oui,
, jaime que tu me prennes comme ça,
, baises moi fort,
, ooohhh, oui, jaime que tu me montes,
, dis moi que taimes me baiser,
, de baiser ta salope,
, ouiiiii, remplis moi de toi,
, OUIIIIIIII,
, cest bon,
, OOOHHHH
»
Tout en maintenant la pression et bien positionné dans sa moule, javais sous les yeux sa jolie rosette, bistre, entourée de ses fesses arrondies et fermes.
« Tu sais que tas un beau cul »
« OOHHHH,
, il te plait,
, tu le voudrais,
, tu lauras une autre fois,
, mais fais moi jouir,
, OUIIIIIII,
, retiens-toi,
, je sens que je vais jouir,
, ne tarrêtes pas,
, OOOOHHHH,
, JE JOUIS,
, OUIIIIIIII ?
»
Ne pouvant plus tenir, je lâchais tout, heureusement Mireille partie presque en même avec un gros orgasme qui faillit méjecter de sa chatte, mais ayant connu cela précédemment et prévoyant jétais cramponné à ses hanches. Etant bien cramponné la première giclée remplit sa chatte par contre la deuxième, nettement plus faible et moins conséquente atterrit sur ses fesses.
Mireille se laissa tomber tenant toujours loreiller et je me levais pour nettoyer ses fesses, pensant au personnel trouvant ces taches caractéristiques dans son lit, cela risquait de faire jaser.
« Quest ce que tu fais »
« Du nettoyage, jai mal visé ! »
« Laisse, viens, je veux mon câlin, et on prendra une douche, allez viens »
Javais lintention de méclipser, mais il ne métait pas possible de résister à un tel argument.
« Puis, non, on prend la douche et après tu me fais mon câlin, jaime faire un câlin après avoir fait lamour »
Et elle se dirigea vers la salle de bains, jattendais quelle finisse de se doucher, mais, elle me dit :
« Viens prendre la douche avec moi, elle est assez grande pour deux »
Jhésitais, mais la curiosité et lenvie firent que je me décidais. On commença par bien sarroser, mais pour être deux sous la pomme, cela nous obligeait à nous serrer, ce qui entrainait certains frottements, fort agréables et excitants.
Puis on passa au savonnage. Partant du haut, jarrivais rapidement sur les fesses et jappréciais leurs tenues et savonnait généreusement leur rotondité, jinsistais également sur la raie qui les séparait. Mireille maidant, ses deux mains écartant ces deux beaux globes. Puis, ayant légèrement ouvert ses cuisses, jarrivais à me glisser vers sa toison et bien entendu son intimité, que je savonnais copieusement. Distraitement un doigt suivi la raie de son minou et remonta vers celle du cul, en sarrêtant au niveau de la jolie rosette pour en apprécier la souplesse. La raie du cul souvrit un peu plus et jentendis un « OOOHHHH » et le fessier se tendit vers mon doigt qui pénétra légèrement plus dans ce petit trou. Le savonnage sintensifia surtout au niveau de la chatte et du petit trou, qui fut pénétré un peu plus, à chaque passage, mais en douceur. Mireille participait passivement en se laissant faire, mais soupirait largement. Enfin elle se retourna, le visage légèrement défait, mais lil brillant et le souffle court, comme si elle venait de jouir. Me tendant ses lèvres légèrement ouvertes, et se collant à moi elle me dit : « Embrasses moi ». Nos lèvres se joignirent, nos langues se trouvèrent et se caressèrent, en même temps que nos corps se collaient, se frottaient, le tout, de sa part avec un genre de violence contenue.
Après ce baiser, elle me dit : « Cest à mon tour » et elle entrepris de me savonner. La première partie de lopération savonnage avait commencé à faire un certain effet sur mon anatomie. Cette suite, avec la douceur de ses mains, transformait le jeu en une suite de caresses. Le résultat ne se fit pas attendre et je commençais à avoir une sérieuse trique. Cela parut enchanter Mireille, qui la saisit et lenroba de savon tout en la parcourant du bout des doigts, caressant la hampe, le gland,
Jétais pas loin déclater et le lui dit : « Arrêtes, si tu continues, je ne vais pas tenir longtemps ». Au lieu de sarrêter, elle continua à me caresser et à me branler, ce qui devait arriver, arriva, je me vidais dune belle giclée sur son ventre. Elle regarda ce qui venait datterrir sur son ventre et éclata de rire : « Heureusement quon est sous la douche, y-a quà rincer »
Sortant de la douche on se sécha mutuellement, ce qui se transforma rapidement à une série de caresses, moi sur ses seins, elle essayant de redonner vie à une partie, épuisée, de mon anatomie.
Je sentais quelle était en train de monter en pression er que, après le traitement quelle mavait fait subir, je risquais fort de ne pas être à la hauteur de ses envies, un repli en bon ordre devait me permettre de sauver la face. Je la poussais jusquau lit, étant couchée, je lui écartais les jambes et mattaquais à son intimité, avec langue et doigts, et cest elle qui demanda grâce.
« Arrêtes, je nen peux plus.
Est-ce que tu veux rester cette nuit ? »
« Ce serait avec plaisir, tu nen doutes pas, mais je ne pense pas que ce soit sage, tu connais mon point de vue. Pour ça il faudra trouver une astuce »
« Oui, tu as raison, mais jaurais aimé »
« On se verra peut-être demain matin ou lundi au bureau »
« Oui, peut-être, grattes à la porte, si je suis réveillée »
Je mhabillais en vitesse, car je sentais, quelle aurait aimé que je reste pour finir la nuit avec elle, et que personnellement jétais en train de céder, ce qui aurait été une erreur, surtout pour elle.
Le lendemain, vers 7,00 heures, je grattais à sa porte, mais aucune réaction, je filais et cétait aussi bien ainsi.
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